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Découvrez les meilleurs placements financiers Français et l’intérêt de la gestion privé.

Les placements financiers Français

Il existe aujourd’hui en France un grand nombre de placements ou de placements bancaires que l’on nomme placements alternatifs. 

  • Livret A : Le premier placement des français, hors assurance vie, reste un placement d’appoint qui est le livret A. Il prend différents noms suivant les banques mais ne joue pas et plus son rôle depuis 20 ans (protection contre l’inflation). Le livret A a, pour but avéré, d’être un livret de dépôt à court terme de grande liquidité. Stratégiquement, il a été démontré que la liquidité d’appoint ne doit jamais dépasser 3 à 6 mois pour les ménages. L’argent restant devant être ventilé dans les placements bancaires alternatifs ou servir à des placements alternatifs plus judicieux.

Les placements alternatifs bancaires :

  • Le livret de développement durable (LDD), le livret d’épargne populaire (LEP), le plan d’épargne logement (PEL), le compte épargne logement (CEL), les livrets d’épargnes (super livrets) : Ce sont les placements les plus couramment utilisés par l’univers bancaire. Ils sont souvent réglementés par l’état qui apporte des bonifications de rendements et des options de crédits quand ils sont régulièrement abondés. Ils n’ont aujourd’hui plus ou pas de réels avantages que celui d’exister.

Pour information, aujourd’hui, il est inutile d’utiliser des placements type PEL et CEL du fait du « quantitative easing », politique monétaire de la BCE qui prête l’argent aux banques à taux zéro, voir à des taux négatifs pour empêcher les états de scléroses entre banques qui refusent de se prêter l’argent. La banque vous prête donc de l’argent à environ 2 %, sa marge étant complète, ce qui rend inutile l’enclenchement des avantages des PEL et CEL.

Les placements que nous utilisons :

  • L’assurance vie, le PEA, les comptes-titres ainsi que des placements plus diversifiants (FCPI, FCPR, GFE,….) : Pourquoi nous vous parlons ici de ces placements alors que pour certains, ils sont dans le système bancaire ? Les placements que nous vous avons indiqués plus haut, sont des placements « inertes ». Ils ne demandent pas de gestion ou de connaissance du système financier et juridique. Les banquiers sont plus des administrateurs que des gestionnaires, ce qui a amené, par exemple, à la défection de la clientèle pour le PEA qui restait inerte et inchangé pendant 10 à 15 ans et ne rapporte finalement rien du tout.

Nous sommes ce que les banques ne sont pas. Nous ne sommes pas des administrateurs mais des gestionnaires. Notre gestion des assurances vie, des PEA, des comptes-titres et autres supports, fait de nous des interlocuteurs plus appréciés que les banques car nos rendements (même sur nos fonds en euros) sont meilleurs. Dans ce site, vous aurez donc une sélection de ce que nous sommes capable de faire avec notre vision de la gestion financière, juridique et gestion du risque pour apporter un ratio risque/rendement tolérable et accompagner nos clients sur le long terme.

Les placements financiers réservés aux particuliers

Les placements financiers pour particuliers qui sont intéressants et qui permettent une bonne diversification et un accroissement du patrimoine vont être présentés via un schéma et listés si dessous.

  • Assurance vie : L’assurance vie est un contrat d’assurance qui a vocation à garantir le versement d’une somme d’argent sous forme de capital ou de rente en cas d’aléas liés à l’assuré : son décès ou sa survie.
    • L’assurance en cas de décès est encore appelée assurance décès. Elle est plus souvent connue en tant qu’assurance décès invalidité ou ADI accolée à un prêt immobilier ou professionnel. Elle est également très souvent utilisée lors de conventions cadres avec des dirigeants ou des cadres de sociétés. En cas de décès de l’assuré, une rente ou un capital sera versé aux bénéficiaires.
    • L’assurance en cas de vie (aussi appelée assurance sur la vie), quant à elle, verse un capital ou une rente en cas de vie à l’échéance du contrat.

L’avantage de l’assurance vie est sa faible imposition en cas de succession, sa faible imposition en cas de récupération des bénéfices générés par les fonds après 8 ans de souscription de l’assurance ainsi que les fonds en euros qui permettent une garantie du capital.

  • Contrat de capitalisation : Le contrat de capitalisation est une enveloppe fiscale assez similaire au contrat d’assurance-vie mais qui peut aussi être détenu par une société. De nombreux avantages sont méconnus pour le contrat de capitalisation.

Il faut rappeler que la fiscalité du contrat de capitalisation en cas de vie est équivalente à celle de l’assurance vie mais qu’en cas de décès, la totalité du contrat est taxée dans la succession. Ajoutons que les plus-values du contrat ne rentrent pas dans la base d’imposition à l’ISF. De plus, son second avantage est l’antériorité fiscale. Cela signifie qu’en cas de donation ou de succession, le contrat n’est pas dénoué et conserve son antériorité fiscale. Les plus-values entrent dans l’actif de donation et succession et la plus-value se retrouve purgée des frais de plus-values. Enfin, rappelons qu’un contrat de capitalisation a l’avantage de pouvoir être démembré et de pouvoir détenir des fonds en euros.

  • PEA / PEA-PME : Le PEA est un compte-titres bénéficiant de certains avantages fiscaux uniquement pour les résidents français. Après 5 années de détention, les revenus et les plus-values réalisés sur ce compte sont exonérés des taxations des gains hors prélèvements sociaux. L’avantage du PEA est aussi la capacité d’y détenir des parts d’une société par action simplifiée dans le cas où ces parts représentent moins de 25 % de la société.
  • Compte titres : Le compte-titres est un compte de dépôt dédié aux valeurs mobilières (actions, obligations, FCP, …). C’est un compte très rarement utilisé depuis la création du PEA. Il sert aux transferts, à la conservation des titres ainsi qu’aux paiements de dividendes. Il est très rarement utilisé de nos jours.
  • Assurance vie/contre assurance et Tontine : Historiquement, le contrat d’assurance vie était un contrat d’assurance décès avec « contre-assurance ». En cas de vie, les primes versées pendant la durée du contrat étaient remboursées et majorées des intérêts techniques prévus. C’est cette ancienne technique qui est encore utilisée aujourd’hui dans la tontine ainsi que dans certains contrats. N’ayant pas de valeur de rachat, ce contrat est hors ISF et n’est pas pris en compte dans la succession.
  • PERP/PER : Le plan épargne retraite populaire est une forme d’épargne par capitalisation bloquée jusqu’au départ à la retraite. Dans le cadre de la retraite, elle permet de se constituer, à partir de versements périodiques, une rente viagère. Les versements sont déductibles du revenu imposable, dans la limite d’un certain plafond (10 % du revenu imposable). La rente viagère est, elle, soumise à l’impôt sur le revenu. Le PER est venu remplacer le PERP. Si une grande partie du fonctionnement du PER est un copié collé du PERP, une grande subtilité est à retenir, la possibilité de sortir en capital plutôt qu’en rente. C’est une très bonne évolution.
  • FCPR : Les FCPR sont des fonds communs de placement à risque. Ils sont obligatoirement agréés par l’AMF. Ils doivent être investis pour au moins 50 % en titres de sociétés non cotées. Lorsque le fonds reste bloqué plus de 5 ans, les plus-values sont exonérées de toutes taxes hors prélèvements sociaux.
  • SCPI (rendement et démembré) : La société civile de placement immobilier est une entité juridique gérée par une société de gestion professionnelle dans le but de gérer et d’acquérir un patrimoine immobilier professionnel. La société de gestion s’occupe de collecter de l’argent auprès de particuliers, trouver des biens dans lesquels investir, gérer ce parc immobilier et redistribuer les loyers et/ou les avantages fiscaux à ses porteurs de parts, les « associés ».
  • FCPI / FIP : Les FCPI ou fonds communs de placement dans l’innovation sont des véhicules juridiques agréés investis pour au moins 70 % dans des actions de sociétés cotées ou non, innovantes. Comme les FCPR, ce sont des produits risqués mais dont le risque est compensé en partie par la réduction d’impôt sur le revenu de 18 % à 25% du montant de l’investissement (limitée à 2 160 /3 000 euros par personne et à 4 320 / 6 000 euros par couple).

Les FIP ou fonds d’investissement de proximité sont spécialisés dans l’investissement de titres non cotés de PME. Ils bénéficient d’un dispositif d’incitation fiscale largement similaire à celui des FCPI voir supérieur lorsqu’il s’agit de FIP Corse.

  • SCI /SCPI (Malraux ou déficit foncier) : Les SCI sont des véhicules plus petits que les SCPI. Au lieu de représenter 5-6 immeubles pour les SCPI Malraux, la SCI représente un ou deux immeubles. Il faut donc être assuré que la localisation du bien permettra une plus-value à terme (défiscalisation comprise).

Les placements financiers réservés aux professionnels

Les placements pour professionnels qui sont intéressants et qui permettent une bonne diversification et un accroissement du patrimoine privé et de l’entreprise vont être présentés via un schéma et listés si dessous.

  • Compte à terme : Un compte à terme (CAT) aussi appelé dépôt à terme, est un dépôt bancaire qui est bloqué contractuellement jusqu’à l’échéance d’une période de temps décidée à l’ouverture du contrat entre les parties. En contrepartie de ce blocage, le taux d’intérêt associé est généralement plus élevé que pour un dépôt à vue où la somme peut être retirée à n’importe quel moment. Néanmoins, il est aujourd’hui inutile d’utiliser cette enveloppe dont les taux d’intérêts sont extrêmement bas et qui bloque le capital.
  • Contrat de capitalisation : Le contrat de capitalisation est une enveloppe fiscale assez similaire au contrat d’assurance-vie mais qui peut aussi être détenu par une société. De nombreux avantages du contrat de capitalisation sont méconnus. Pour une société, il s’agit surtout de pouvoir placer son fonds de roulement ou ses liquidités dans un outil plus performant qu’un compte à terme, plus liquide car non bloqué et de pouvoir mettre son argent sur un fonds en euro capital garanti.
  • SCPI rendement ou en usufruit : La société civile de placement immobilier est une entité juridique gérée par une société de gestion professionnelle dans le but de gérer et d’acquérir un patrimoine immobilier professionnel. La société de gestion s’occupe de collecter de l’argent auprès de particuliers, trouver des biens dans lesquels investir, gérer ce parc immobilier et redistribuer les loyers et/ou les avantages fiscaux à ses porteurs de parts, les « associés ». La SCPI, même si elle n’est pas capital-garanti, est intéressante pour optimiser le fonds de roulement d’une société. Pour contrer le problème de la garantie de capital, la société peut accepter d’être usufruitière d’une SCPI pour un certain montant donc d’en récupérer les bénéfices, amortir l’achat de la SCPI dans sa comptabilité pour baisser son IS et ne pas être dépendante de la valeur de la SCPI mais uniquement de sa rente.
  • Capital investissement et croissance externe : La société ou son dirigeant va consacrer une partie de ses capitaux propres au développement ou rachat d’une société ayant des besoins de croissance ou de transmission. De par la nature risquée et non liquide de cet investissement, l’investisseur va demander un rendement sur son capital investi supérieur à celui du marché des actions cotées. Souvent, l’investisseur ne se contente pas d’investir mais accompagne généralement la société en portefeuille par des conseils pratiques lui permettant d’accélérer son développement et d’optimiser sa gestion.
  • FCPR : Les FCPR sont des fonds communs de placement à risque. Ils sont nommés plutôt Capital investissement lorsque c’est une société ou une holding qui les possède.
  • Madelin/PER : La loi Madelin a pour objectif de permettre aux travailleurs non-salariés non agricoles (TNSNA), aux dirigeants de sociétés soumises à l’IS et aux conjoints collaborateurs de TNS de bénéficier de compléments de pensions de retraite et de compléments de garanties de prévoyance personnelle. Rappelons que les cotisations sont volontaires donc non obligatoires et sont déductibles à hauteur de 10 % du bénéfice imposable minimum.
  • PEE / PERCO / PER ent : Plus intéressant que le PERP et la Madelin, le PEE a pour premier avantage de pouvoir beaucoup plus facilement être versé en capital plutôt qu’en rente viagère. Fiscalement, la participation, l’intéressement et l’abondement investis par la société sont exonérés de charge sociale et d’impôt sur le revenu. Les plus-values sont exonérées d’impôt à la sortie hors prélèvements sociaux. C’est donc une forme de rétribution intéressante pour le dirigeant d’une société pour lui ainsi que pour ses salariés.

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